Sous la vaste circulaire translucide du dôme martien, les jours s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids idéal des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient désormais permanentes, lentement mouvantes, notamment une vapeur dense qui refusait de s'exhaler. Ces dessins, nées des regrets cachés et non formulés, devenaient https://cesarpponl.blognody.com/36263386/le-dôme-des-contrariété