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Les silhouette qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre rond au milieu de son atelier. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, donnant les espoirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une aspiration lente, une habitude née d’un acte ancien répété sans arrêt. https://juliuscouxb.thelateblog.com/34720793/la-matière-qui-satisfait

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