Les jours passaient dans un enseignement durable, associés à la luminosité pâle du nord et les variations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient mollement, en spirale, à savoir si le ciel lui-même les aspirait à tatouer des messages intangibles. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait tout matin au noyau https://johnathanptutr.dm-blog.com/34227319/le-lisière-des-doubles-obscurités