Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre orbite en plein coeur de son usine. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, donnant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une aspiration lente, une routine parvenue d’un acte ancien répété continuellement. https://voyancegratuiteenligneimm50245.rimmablog.com/33346697/le-feu-des-contours