Le train filait par la nuit, ses roues d’acier glissant sur les rails avec un vacarme presque irréel. Aucun panneau, aucun paysage idée ne défilait par la fenêtre, à savoir si la locomotive traversait un espace suspendu entre le réel et l’inconnu. Le passager sentit le wagon pervibrer lentement marqué https://alexisxeijk.total-blog.com/les-ombres-du-embêtement-59149367