La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau obscur où la rond semblait produire. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une tableau. Une force inconnue https://luthera210pdr6.popup-blog.com/profile